La définition conceptuelle du parking aérien était basée sur son emplacement, qui permet la relation fonctionnelle et spatiale entre les différents cotes. Le volume à construire est supposé être un parallélépipède à facettes qui s’adapte à une zone présentant de grandes irrégularités topographiques. Il comporte deux étages pour le stationnement, un sous-sol pour les archives et l’utilisation du toit pour le pratiques sportives.